Malou.. Voici, pour toi, Marguerite de France,ou la < reine Margot >
Elle se vit le jour,en l'an de grâce 1553 !
Des méchants de l'époque, prétendirent, qu'outre, à son prénom, elle dut le sobriquet, au verbe margoter, (Choses que les mâles chats, se font le soir, à l'heure, d'entre chien et loup, pour s'exciter la femelle polissonne, d'alentours.. )
Elle eut une vie agitée ! Dame, être issue de Catherine de Médicis, bien que s'appelant Valois, d'Angoulème, de la dynastie des Capètiens par son père, il y a de quoi, s'avoir les choses de sa vie, se chahuter sur des montagnes russe .. ( les dos d'ânes de notre époque, posés ici et là, pour te casser l'amortisseur de te vieille Super-Cinq )
Bref, Margot se vecu l'enfance avec ses frères, dont trois furent Rois, sauf le plus intelligent, son préfèré, Hercule, qui s'en devint Francois, puis le duc d'Alencon. .. Petite aparté : Il est surprenant de constater, qu'au cour de l'histoire, ce fût souvent, les moins outillés pour, qui se haussèrent le mieux à la tête des Etats !
Papa, Henri II, qui se fit enlever le heaume et l'oeil en même temps, lors d'un tournoi, amicale avec ses vieux copains de classe, ne vécu pas assez longtemps, pour s'emmener sa pitchounette au Zoo, quand à Mamounette Catherine, qui n'avait, déja, pas assez de temps, pour mener à bien les intrigues qu'elle espèrait, se pouvoir faire mal... En sus, de ses relations intimes avec les cornues de son charlatan italien, lui squattant l'entresol, contre des herbes tueuses, sa fille, ne se pouvant pas, encore lui être, d'une quelconque utilité, elle l'ignorait carrément.
Margot, était intelligente et trés belle ! se que voyant les plus mal fini de ses frères, ayant l'affection aussi débordante que malsaine, firent subir à la pauvrette, diverses privautés, qu'au jour, d'aujourd'hui, on appellerait < Viols sur mineures >
Elle n'y résista, que grâce à l'amour sans partage, qu'avec Hercule, ils se vouaient l'un à l'autre !
Bref, se devant prendre, le commandement des troupes royales, Henri, le pire de tous, mais le plus malin aussi, confia à Margot, la lourde tâche de lui surveiller le trône à venir... Leur mère, lui préférant de loin, le petit dernier Charles.
A son retour, sans même un remerciement, il ignora la pauvrette, bien marrie de s'être autant impliquée, pour un ingrât !
Il faur dire, qu'en même temps que sa surveillance, Margot, s'accèlerait le libertinage, sans faiblir, et que surtout, elle rêvait d'épouser, le duc de Guise, l'ambitieux chef de file des catholiques, quasi-intégristes, qui lui, se rêvait de se marier avec le siège royal, aprés avoir écarté de sa route, tout ces Medicis-Valois, moins bien fini, que lui!
Revenons à Margot, qui à présent en âge de se marier, devint l'enjeu d'union se pouvant être utile à la royauté et surtout à l'ambition de ceux qui la représentait .
On la proposa donc, à un espagnol ,, Philippe II, les négociations capotèrent ! Puis à Sébastien le roi du Portugal, ça capota aussi ! Alors, on se reparla d'Henri de Navarre, dont je vous fis, un portrait, il y a peu, Henri , qui en plus des sous de sa mère, de toute la Gasconne, se pouvait aussi, apportait la bonne ville de Pau, récemment convoité par un monsieur Bayrou, à qui il manqua la barbe au carré. De plus on espèrait, s'en le souhaiter vraiment, une trève entre les bisbilles, huguenote et catholique. Pour ce mariage là, il se fallait l'autorisation papale, laquelle trainaillait , enormément, le Vatican ne se voulant pas d'un protestant dans sa bergerie...
Je vous reviendrai sur Margot, trés bientôt, et en attendant,
Au revoir les amis et n'oubliez pas, que si l'on ne se voit, pas, on s'entends si bien
Un p'tit com, Merci Nettoue